La dixième génération depuis la guerre 39-45 de l'Opel compacte de segment C (Kadett et Astra) sera dévoilée au public lors du salon de Francfort à la mi-septembre. Un modèle qui se présente en photos alors que le groupe GM est en pleine tourmente. Même si le sort de la marque au Blitz sera sans doute scellé d'ici là. Cette quatrième génération Astra, très technologique, affiche un empattement allongé de 71 mm par rapport à sa devancière. Ce qui devrait garantir plus d'espace dans l'habitacle de cette voiture de 4,42 m. Les ingénieurs d'Opel ont travaillé l'aérodynamique lors de 600 heures de tests en tunnel. En collaboration avec l'équipe de design.
Cette Astra joue aussi, comme l'Insignia, la carte technologique avec un châssis mécatronique avec amortisseurs adaptatifs (FlexRide), une caméra capable de lire la signalisation routière (Opel Eye) et un éclairage variable avec fonction virage et s'adaptant aux conditions de routes et de luminosité (AFL+). Les sièges avant sont également particuliers. La marque allemande nous indique qu'ils sont ergonomiques et étudiés pour protéger les occupants tout en étant confortables en soutenant le dos de manière optimale.
Sous le capot, on ne trouve que des motorisations Euro 5 (forcément puisque cette norme sera obligatoire dès le 1er septembre). En essence et Diesel, huit moteurs sont proposés, d'une cylindrée de 1,3 à 2 litres. Avec la Super sans plomb, l'Astra roulera avec quatre solutions allant d'un 1.4 de 100 ch (74 kW) à un 1.6 turbo de 180 ch (132 kW). Dans cette fourchette, en remplacement du 1.8 atmosphérique actuel, on trouvera un 1.4 Turbo de 140 ch (103 kW). Avant l'arrivée d'une solution ecoFlex, l'Astra Diesel se déclinera en quatre « common-rail » avec filtre à particules depuis un 1.3 de 95 ch (70 kW) jusqu'à un 2 litres de 160 ch (118 kW). Opel ne dit rien quant à l'arrivée possible d'une sportive Astra OPC.
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