Alors que Carlos Ghosn, inculpé de malversations financières, est empêtré dans un long combat juridique au Japon, Renault et Nissan ont un intérêt commun à assurer la pérennité de leur Alliance, malgré de nombreuses divergences. La presse japonaise, le Nikkei en tête, a fait état de préparations d’une holding, qui pourrait être basée à Singapour. Cette solution, apparemment initiée par Renault, a également été relayée par l’AFP et Reuters. Cette compagnie serait gérée avec un parfait partage entre les deux constructeurs.
Rumeurs
De son côté, le Financial Times a annoncé que Nissan et le gouvernement japonais ont refusé la visite, vendredi dernier, des banquiers de SMBC Nikko mandatés par Renault en vue d’établir un accord de fusion. Il resterait donc la voie d’une holding pour mieux partager les participations de Nissan et Renault. Cela impliquerait notamment une baisse de l’influence du gouvernement français dans l’Alliance. Mais rien de tout cela n’est confirmé. Tant chez Renault que chez Nissan, c’est « no comment » face à ces informations qualifiées de « rumeurs ».
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