L'Office européen de lutte antifraude (Olaf) révèle que Volkswagen a bénéficié en 2009 d’un prêt de 400 millions d’euros de la Banque européenne d’investissement (BEI), pour développer un moteur Diesel capable de répondre aux normes de dépollution les plus strictes des deux côtés de l’Atlantique. Ce prêt (qui a été remboursé en 2014) aurait servi à développer le moteur « E1189 », soit celui qui est au cœur du dieselgate. L’Office antifraude européen n’affirme toutefois pas que l’argent du prêt européen a servi directement à développer le fameux logiciel truqueur (qui détecte les phases de contrôles de pollution et n’enclenche les systèmes dépolluants qu’à ce moment-là). Ce sera au parquet de Brunswick (Basse-Saxe, Allemagne) d’en juger. De son côté, Volkswagen nie avoir utilisé ces fonds à des fins frauduleuses.
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