La gamme des modèles Icona accueille un troisième membre : après les SP1 et SP2 Monza, c'est au tour de cette Ferrari SP3 Daytona. Maranello évoque une ode aux voitures de course classiques de la Scuderia, de la 330 P3/4 à la 512S en passant par la 350 Can-Am. Nous parlons de voitures de sport à carrosserie Barchetta, actives dans les années 1960. Le nom Daytona fait référence aux 24 heures de Daytona de 1967, où Ferrari est montée sur tout le podium.
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Maranello prévoit 599 unités de la Ferrari SP3 Daytona, toutes ayant déjà tous trouvé un propriétaire. Chacun ayant déboursé au moins 2 millions € par exemplaire.
Pas d'hybridation
La base technique de la Ferrari SP3 Daytona est celle de la LaFerrari, dont le châssis en fibre de carbone et la suspension active ont été adoptés. Pas de groupe motopropulseur hybride cependant ; à l'arrière, on retrouve le V12 atmosphérique de 6,5 litres de la Ferrari 812 Competizione. Sur la Daytona, ce coeur à haut régime, couplé à une boîte de vitesses robotisée à double embrayage à sept rapports, produit 840 ch à son apogée et 687 Nm de couple. Mieux encore : la zone rouge du V12 ne commence qu'à 9500 tr/min.
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La Ferrari SP3 Daytona ne pèse que 1480 kg et possède la carrosserie la plus aérodynamique de l'histoire du Cheval Cabré (du moins des modèles homologués pour la route). Et cela permet au V12 d'offrir des performances canon sur le tarmac. Le sprint de 0 à 100 km/h prend 2,85 s, passer de 0 à 200 km/h nécessite seulement 7,4 s. La vitesse maximale de la Ferrari SP3 Daytona est de plus de 340 km/h.
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