Essai détaillé / Jeep Compass 4xe 240 : Un Américain à... Melfi
Premier modèle Jeep à être lancé en Europe sous l’ère Stellantis, le Compass, profite d’une mise à jour esthétique tant dehors que dedans, mais surtout, il se modernise en matière de connectivité et d’aides à la conduite.
- Avis Rédaction 15.15 /20
Ainsi donc, le Compass n’est plus assemblé au Mexique mais en Italie, dans l’usine FCA de Melfi. Cela devrait réduire les délais de livraison mais aussi, on l’imagine, les coûts de transport et leur empreinte environnementale. Introduit en 2017, il bénéficie aujourd’hui d’un face-lift de mi-carrière. Cela ne saute pas aux yeux, mais la face avant a été complètement redessinée. Elle gagne surtout en agressivité avec des prises d’air redistribuées et un regard plus perçant (phares à diodes). Les modifications sont moins marquées à l’arrière: le pare-chocs est légèrement différent tandis que les blocs optiques conservent leur forme mais recourent désormais aussi aux diodes. Vous l’aurez compris, les principales évolutions, invisibles, sont là pour répondre aux tendances actuelles en matière de multimédia et d’aides à la conduite. Très récente (elle a été lancée en septembre 2020), la technologie hybride rechargeable n’évolue pas.
- Confort/comportement
- Dotation de série (version S)
- Autonomie à l’électricité
- Tarif salé, décote?
- Gestion de l’accélérateur (en mode Hybrid)
- Autonomie totale réduite
Dans cet article : Jeep, Jeep Compass
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