Le budget de l’État a fait l’objet d’âpres négociations au sein du gouvernement. Parmi les pistes étudiées pour trouver des millions, il y a la réforme des voitures de société. Les solutions seraient une taxe sur les cartes carburant et la possibilité d’échanger sa voiture de société contre un supplément de salaire. Dans un communiqué, la Fédération belge de l’industrie automobile indique avoir « suivi avec une stupéfaction grandissante les conclusions et les spéculations des médias après la présentation des mesures budgétaires fédérales liées aux voitures de société ». La FEBIAC indique également que « quelques idées et propositions évoquées sont notamment très éloignées des décisions que le gouvernement fédéral a communiquées à la fin de la semaine dernière ».
Amalgame
La FEBIAC évoque l’émoi et les inquiétudes sur le marché des voitures de société suite aux « spéculations ou interprétations » parfois « dénuées de tout fondement ». Une situation que la fédération qualifie « d’inacceptable ». D’autant qu’elle pourrait geler la signature de contrats à cause d’un manque de précision et d’une certaine méfiance. Elle précise aussi que : « selon le gouvernement, les mesures et les modalités concrètes ne seront, comme dans tous les autres domaines, élaborées qu’au cours des prochaines semaines ».
Concrètement
Pour la Fédération, il est dès lors « extrêmement important » de connaître « rapidement » toutes les mesures et modalités « concrètes » autour des deux décisions suivantes : la déduction réduite des coûts de carburant et l’introduction d’un budget de mobilité. Elle espère donc des « clarifications urgentes » sur cette réforme imminente tout en marquant sa confiance au gouvernement « pour améliorer la compétitivité de nos entreprises, le pouvoir d’achat de nos concitoyens et la mobilité dans notre pays ».
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