Partner Content / Nouvelle BMW i5: ce qu’en pensent nos lecteurs!

Voici quelques semaines, dans le Moniteur Automobile de fin octobre, nous vous avons proposé le Premier Essai de la nouvelle BMW i5 dans sa version M60 xDrive, dotée de deux moteurs synchrones à aimantation permanente délivrant une puissance maximale de 601 ch (442 kW). Fer de lance de la nouvelle BMW Série 5, la huitième génération de ce modèle emblématique, cette BMW i5 est cette fois passée entre les mains de nos lecteurs dans sa version eDrive40 de 340 ch (250 kW). Pendant près d’une semaine, Xavier et Roger ont chacun sillonné des routes qu’ils connaissent bien au volant d’une BMW i5 dans une peinture extérieure Phytonic Blue. Celles de la région de Wuustwezel pour Roger et celles des environs de Feluy pour Xavier.

PROFILS VARIÉS

«Généralement, je fais surtout de la ville et de l’autoroute. J’ai parcouru quelque 300 km, en famille, avec nos petits-enfants. Je n’ai pas roulé plus que d’ordinaire, mais j’en ai profité chaque jour», détaille Roger, aujourd’hui pensionné. «300 km environ également pour moi», enchaîne Xavier. «J’ai voulu essayer cette BMW i5 dans un peu toutes les conditions et j’ai donc fait à la fois de l’autoroute, des Nationales et des petites routes, notamment pour aller conduire les enfants à l’école. C’est d’ailleurs sur ces petites routes que cette BMW i5 m’a épaté. Ce qui m’a le plus surpris, c’est son agilité! Même par rapport à ma BMW Série 5 Touring de l’actuelle génération. Cette BMW i5 est vraiment très maniable et agréable à conduire.»

Le confort et l’agilité de la nouvelle BMW i5 ont séduit nos lecteurs, qui ont pu en disposer durant une petite semaine.

Un agrément confirmé par Roger, lui également habitué des BMW Série 5: «Cela fait vingt ans que je roule en BMW Série 5, et je m’en félicite tous les jours, notamment pour la qualité du service chez BMW. J’ai vraiment beaucoup apprécié le silence au volant, même si j’aime encore plus la sonorité d’un 6-cylindres, ainsi que la souplesse de cette BMW i5. Au niveau du confort, rien à redire pour le conducteur et le passager, si ce ne sont des ‘bip-bip’ trop nombreux à mon goût. Cependant, à l’arrière, le confort serait encore meilleur si le cinquième passager ne devait pas relever ses jambes.»

«Le tunnel central est en effet assez proéminent, malgré l’absence de transmission», embraye Xavier. «Mais je comprends parfaitement le choix de BMW, qui a décidé de conserver la même plateforme pour ses différents modèles de BMW Série 5. C’est aussi un choix intelligent. Étant très similaire à une BMW Série 5 classique, cette BMW i5 peut ainsi capter ceux qui hésitent encore à passer à l’électrique.»

ET LA RECHARGE?

À tort ou à raison, une grande partie de la perception de l’expérience de la mobilité électrique passe par la recharge. «Même si on n’a pas chez soi une pompe à essence, je pense qu’il faut disposer d’une borne domestique quand on est propriétaire d’une voiture électrique», fait remarquer Xavier. «Hormis pour partir en vacances une ou deux fois par an, l’autonomie n’est pas un problème.»

«Cet essai constituait pour moi une première expérience en voiture électrique. Avec la carte de recharge fournie par BMW, recharger la i5 est vraiment très facile», fait remarquer Roger.

À tort ou à raison, une grande partie de la perception de l’expérience de la mobilité électrique passe par la recharge.

BILAN POSITIF

«Au niveau des équipements, BMW suit la tendance actuelle avec moins de boutons physiques, mais reste le iDrive notamment», note Xavier. «Je recommande néanmoins aux conducteurs de la BMW i5 de bien prendre le temps de configurer les nombreux réglages accessibles depuis le grand écran tactile avant de prendre la route. J’ai également apprécié le fait de pouvoir pleinement utiliser les applications de mon smartphone avec Android Auto.»

À l’issue de cette semaine d’essai, nos lecteurs dressent un bilan global positif de leur expérience au volant de la BMW i5. «Si je devais recommander à un proche une voiture électrique, ce serait cette i5. Mais j’espère aussi que BMW optera dans le futur pour les moteurs à hydrogène», sourit Roger. «Personnellement, j’aime le concept de l’électrique depuis longtemps. Et je m’y intéresse beaucoup. Je ne demandais pas grand-chose pour être entièrement convaincu. Là, je peux même dire que j’ai été pleinement conquis!», s’enthousiasme Xavier en guise de conclusion.