Donald Trump a tenu une de ses promesses de campagne. Il a retiré son pays des accords de Paris de la 21e conférence sur le climat (COP21) en 2015. Les États-Unis font ainsi cavalier seul face à 194 pays. Seuls la Syrie (en état de guerre) et la Nicaragua (qui juge la COP21 insuffisante) n’ont pas signé l’accord. La Russie l’a signé mais ne l’a pas (encore ?) ratifié. Par contre, la Corée du Nord a finalement suivi, en 2016, le mouvement de la COP21. Dès lors, l’Europe, la Chine et l’Asie, le Canada, l’Amérique latine, l’Océanie et l’Afrique font front face aux USA. Cet isolationnisme du locataire de la Maison Blanche fait même grincer des dents dans son propre pays.
Musk en chevalier blanc
Elon Musk, le patron de Tesla, a dès lors mis sa menace à exécution. Suite à la décision de Donald Trump de retirer son pays de la COP21, il a quitté son poste de conseiller à la Maison Blanche. D’autant qu’Elon Musk se présente en investisseur et en entrepreneur de solutions axées autour des énergies renouvelables. D’autres personnalités ont quitté le navire dont Rober Iger, le PDG de la Walt Disney Company. Plusieurs villes et états américains ont par ailleurs indiqué qu’ils respecteront les accords de Paris, malgré la décision du Président. En leader de cette opposition interne, la ville de Pittsburgh et son maire Bille Peduto ainsi que la Californie ou New York, par exemple.
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