Principal concurrent du Coyote, Wikango a lancé son XL. Ce boîtier avec écran 4 pouces reste fidèle aux boutons d'alerte. L'affichage passera du vert au rouge, en passant par l'orange, en fonction des risques potentiels face au conducteur. Un abonnement n'est pas nécessaire pour profiter des mises à jour ainsi que des alertes de radars fixes et les zones de contrôles fréquents. Par contre, pour profiter des alertes en temps réel des quelque trois millions de membres de la communauté, il faut souscrire un abonnement à vie de près de 150 euros, soit le même prix que le boîtier.
Réglementaire pour la France, le Wikango XL annonce des « Dangers » permanents, temporaires ou potentiels. Il donne aussi des conseils de conduite et le nombre de « Smartdrivers » dans le secteur. Wikango insiste sur le caractère communautaire et sécuritaire de ses avertisseurs de radar et de trafic. Ainsi, le XL est déjà prêt à fonctionner en « Open Data ». C'est-à-dire d'afficher et partager toutes les informations récoltées, même en dehors du réseau d'utilisateurs Wikango. Cela peut être des infos météo, de statistiques (points noirs, endroits dangereux), de dangers annoncés par les autorités, etc.
Le Wikango XL fonctionne sous Android avec un processeur de 600 MHz et une mémoire de 8 Go. Il est compatible dans plusieurs pays européens, dont l'Allemagne, la Belgique, la France, les Pays-Bas ou le Royaume-Uni, il l'est aussi en dehors de l'Europe comme en Australie, Chine ou États-Unis. Outre le Wikango XL, la société a également développé une mise à jour du Max avec un OS 2.1 à interface repensée. Dès lors le Max peut afficher et annoncer de nouvelles alertes (radars tronçons et mobiles) et offrir de nouvelles fonctionnalités comme l'écoconduite et l'alerte d'hypovigilance.
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