À la différence des constructeurs généralistes, Bugatti, Hennessey et Koenigsegg n’ont pas l’obligation de passer l’épreuve des crash-tests lorsqu’ils présentent un nouveau véhicule d’exception. Cela dit, pour fêter le million d'abonnés sur son compte Instagram, Koenigsegg a décidé d’offrir un exemplaire de Regera à un organisme indépendant. Car, pour le constructeur suédois, la sécurité n’a pas de prix.
Budget limité
Évidemment une Regera coûtant plus de 2 millions d’euros, le constructeur ne pouvait en confier qu’un exemplaire à cet organisme de crash-tests. Koenigsegg s’est donc engagé à réparer sa voiture après chaque test. Et, à notre avis, la marque a dû mettre la main au portefeuille. Car, pour rappel, le coupé Regera est en grande partie constitué de carbone et dispose d'un moteur qui n'est pas associé à la boîte de vitesses. Bref, il s’agit bien d’une voiture très sophistiquée et complexe. Cela dit, en participant à pareils tests, le constructeur a prouvé par « A plus B » qu’il pouvait proposer des bolides sûrs et capables de filer à 400 km/h. Il a également prouvé qu’il faisait de la sécurité une tradition qui a été mise en place par feu Saab et Volvo. La vidéo ci-dessus ne fait que le confirmer...
Credit: @Koenigsegg
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