Vous en connaissez beaucoup, vous, des magazines auto généralistes qui consacrent 19 pages à un méga-essai de pick-up? Non… Hé ben, heureusement, et c’est bien pour ça que Le Moniteur Automobile est devenu votre lecture préférée, votre bible de chevet ! En organisant le sujet, nous ne faisons que – tout à la fois – coller à l’actualité, évoquer une pratique spécifique à notre plat pays et nous mettre dans le ton d’un salon de Bruxelles sur le point d’ouvrir ses portes. En somme, nous répondons là à une attente de bon nombre d’entre vous, chers amis lecteurs. Que ce souhait soit ou non exprimé, face à un phénomène qu’on amalgame trop souvent, indûment même, avec le goût – jugé malsain – pour les gros «quat’-quat’», votre curiosité se révèle bien réelle.
C’est que le pick-up intéresse du monde. En Belgique, sur la dernière année pleine (2011), il n’est pas loin de représenter 6% des ventes d’utilitaires légers (. 3,5 T) et 0,6% du marché des voitures particulières neuves, soit 3.594 unités. Ces 4 dernières années, quelque 11.000 pick-up neufs (une niche stable que se partagent 9 marques) ont donc trouvé acquéreur chez nous. Pas seulement des professionnels désireux d’acheter un outil de travail et de mobilité; ils recrutent de plus en plus de particuliers à la recherche d’un substitut à la voiture «vache à lait fiscale». Même si ce petit camion – le plus souvent doté de 4 roues motrices enclenchables – présente des inconvénients pour un citadin: sa longueur encombrante (plus de 5 m) et son diamètre de braquage important dissuaderont ceux qui ne disposent pas en permanence d’espaces de stationnement praticables.
Dans cet article : Ssangyong, Ssangyong Actyon , Ford, Ford Ranger , Volkswagen, Volkswagen Amarok , Nissan, Nissan Navara , Isuzu, Isuzu D-Max , Toyota, Toyota Hilux , Mitsubishi, Mitsubishi L200
NE MANQUEZ RIEN DE l’ACTU AUTO!
Derniers modèles, tests, conseils, évènements exclusifs! C’est gratuit!