- Avis Rédaction 13.00 /20
Le modèle de base de cette M6 est donc une Série 6 Cabriolet, elle-même reposant sur la plate-forme modulaire également utilisée par les Séries 5 et 7. Cela signifie donc que BMW a pris ses distances par rapport au traditionnel train avant McPherson pour lui préférer un essieu à double triangulation censé lui conférer un meilleur guidage, tandis qu'à l'arrière, pas de changement, on retrouve un essieu multibras. L'autre particularité de cette plate-forme, c'est que, pour la première fois, une assistance de direction électrique est de mise pour toutes les versions... à l'exception des modèles M, qui restent fidèles à une unité entièrement hydraulique et variable (Servotronic). Une BMW M, c'est aussi et surtout un moteur. Il n'en va pas autrement pour cette M6, dotée du même ensemble moteur-boîte que la M5 lancée l'année dernière: le 4.4 V8 biturbo et la boîte DCT à double embrayage et 7 rapports. Logique ! En fait, ce qui nous a le plus surpris, ce sont les modifications esthétiques distinguant la M6 de la Série 6, nettement plus voyantes que par le passé.
- V8 musclé, performances décoiffantes
- Boîte ultrarapide
- Excellents sièges avant
- Possibilités de personnalisation
- Équipement standard généreux
- Coffre et habitacle relativement vastes
- Poids élevé
- Comportement pataud, amortissement
- Tarif phénoménal, options au prix fort
- Pertes de motricité
- Endurance et puissance des freins
- Petits détails qui fâchent
Dans cet article : BMW, BMW Série 6