Essai détaillé / Citroën DS5
La DS5 est sans doute le modèle de la gamme DS qui se situe le plus à la croisée des genres. Entre SUV et monospace, entre familiale et coupé, il brouille les pistes. Au point de nous embrouiller ?
- Avis Rédaction 14.00 /20
Alors que la DS3 dérive étroitement de la C3 et que la DS4 met à profit les dessous de la C4, la DS5 n'a rien en commun avec la C5. Ce crossover recycle en réalité la base technique du C4 Picasso (court), donc aussi de la Peugeot 3008, dont il reprend le groupe motopropulseur hybride dans sa variante HYbrid4. Mais cette filiation ne l'empêche pas d'arborer une véritable personnalité esthétique. Mais la vraie bonne nouvelle, c'est que, malgré cette ligne travaillée, la DS5 se montre plutôt généreuse à bord. L'équipement embarqué est pléthorique, notamment dans la chère version haut de gamme Sport Chic (GPS, cuir, sièges chauffants et massants). Techniquement, la DS5 joue évidemment moins les originales. Dans tous les cas, les réglages ont néanmoins été revus afin de favoriser le dynamisme, comme il sied aux produits DS.
- Personnalité esthétique, présentation
- Finition «à l'allemande»
- Accord moteur/boîte très réussi
- Habitabilité intéressante
- Insonorisation étonnante
- Qualité des sièges
- Suspension percutante sur hautes fréquences
- Manque de centrage de la direction
- Manque d'espaces de rangement
- Visibilité périphérique
- Pas de stop&start
- Hayon sans poignée extérieure
Dans cet article : Citroën, Citroën DS 5
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