- Avis Rédaction 14.24 /20
DS sort d’une période difficile: après avoir vu ses ventes divisées par deux en l’espace de deux ans, la marque est repartie à la hausse en 2018 (+0,8%) grâce essentiellement au DS7, qui assure à lui seul 60% des ventes (30.000 unités sur 53.000). Et, chose étonnante, ce n’est pas la Chine qui tire la demande, mais l’Europe (85% des ventes). On se dit dès lors que DS ne pourra faire que croître cette année encore grâce à l’arrivée du petit SUV DS3 Crossback, un genre appelé à se développer, même s’il est encore peu prisé des «premium». Actuellement, seuls Audi (Q2) et Mini (Countryman) y possèdent un représentant, BMW, Mercedes, Jaguar ou Volvo restant pour l’heure aux abonnés absents.
Contrairement à ce que son nom pourrait laisser croire, ce crossover ne remplace pas la DS3, qui reste au catalogue, bien que l’on remarque quelques similitudes entre les deux modèles: par exemple, les vitres latérales découpées en forme «d’aileron de requin» et qui confèrent au modèle une vraie originalité. Le nouveau Crossback sera vendu dans tous les pays du globe qui accueillent la marque sur leur territoire, à la fois en versions à essence et Diesel ainsi que dans une variante 100% électrique dénommée E-Tense (50 kWh pour 320 km d’autonomie «WLTP») et dont l’une des caractéristiques tient dans la modulation de la puissance du moteur électrique en fonction du mode de conduite sélectionné – 60, 80 ou 100 kW respectivement sur les modes Eco, Normal et Sport.
- Ligne originale
- Confort de marche et insonorisation
- Présentation, finition intérieure
- Boîte automatique douce
- PureTech 130 sobre
- Prix des options
- Détails de finition
- Direction artificielle
- Volume du coffre
- Valeur résiduelle?
- Touches tactiles fantasques
- Visibilité périphérique
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31-07-2019
3Dans cet article : Citroën, Citroën DS 3 , DS, DS DS 3
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