Essai détaillé / Lamborghini Aventador
Un V12 central, 700 ch dans les pistons, une coque en carbone et un fuselage d'exception : la Lamborghini Aventador LP700-4, c'est du concentré de technique et d'émotions. De sensations fortes aussi, avec l'accès à Mach 0,28 (350 km/h) sans restriction !
- Avis Rédaction 14.00 /20
C'eût été trahir la lignée que d'opter pour autre chose qu'un V12: Miura, Countach, Diablo, Murciélago, elles l'ont toutes porté. Et avec la manière, pas simplement sur le nez, mais bien installé, c'est-à-dire entre les essieux. L'Aventador suit naturellement la ligne de conduite, à cela près qu'elle fait considérablement évoluer le support en abandonnant le principe de la cage en tubes d'acier des Diablo et Murciélago pour s'en remettre au carbone. De carbone, il n'est toutefois question que pour la cellule de survie, les trains roulants et la céleste mécanique reposant toujours sur des structures rapportées en aluminium. Au bout du compte, l'ensemble apparaît néanmoins cohérent, bien pensé et bien construit.
- Style sans défaut, aura de vraie supercar
- V12 atmo diabolique, bande son divine
- Performances ahurissantes
- Répartition des masses, équilibre du châssis
- Tenue de route, motricité tout temps
- Tempérament virulent mais jamais malsain
- Gabarit dans certains environnements
- Visibilité médiocre, contours difficiles à cerner
- Embrayage mal adapté aux évolution lentes
- Gestion de boîte imparfaite (en mode Auto)
- Maintien des sièges perfectible pour le dos
- Aucun espace de rangement à bord
Dans cet article : Lamborghini, Lamborghini Aventador
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