- Avis Rédaction 15.00 /20
Si d’aucuns considèrent que Lexus est un petit Poucet en Europe, il faut bien avouer que la marque s’impose de plus en plus sans jouer les fanfarons. Bien entendu, il n’est pas question de rivaliser par les ventes avec le trio germanique; cependant, 2017 a été la quatrième année consécutive de croissance pour la marque de luxe de Toyota sur le Vieux Continent (+72% sur 4 exercices). L’an dernier, Lexus Europe a écoulé plus de 74.000 véhicules – soit près du double d’une marque comme Subaru – et il ambitionne de porter ce volume à 100.000 d’ici à 2020. Joli défi, même si l’on remarque que, paradoxalement, la croissance est tirée par les plus petits modèles de la gamme, comme la vieillissante CT (qui vient de recevoir un énième restylage) et le SUV de milieu de gamme, le NX. Il y a dès lors gros à parier que la croissance future de Lexus dépendra étroitement du succès du SUV compact UX présenté au dernier salon de Genève et qui est en réalité le frère de sang du Toyota C-HR – lequel se vend comme des petits pains. En attendant ce déploiement, Lexus renouvelle la berline phare de sa gamme, la LS, rivale désignée des Audi A8, BMW Série 7 et Mercedes Classe S depuis 1989. Et, comme toujours, le Japonais a cherché à se différencier, notamment par le biais d’une offre exclusivement hybride non rechargeable censée apporter son lot d’améliorations par rapport à l’ancienne LS 600h.
- Equipement de série pléthorique
- Contenu technologique
- Offre hybride
- Confort des sièges unique
- Style décalé, fiabilité prouvée
- Confort à l'arrière somptueux (President)
- Moteur thermique bruyant en charge
- A-coups nombreux dans la transmission
- Suspension trépidante
- Modularité du coffre
- Détails de finition
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