Essai détaillé / Nissan Juke Hybrid: Programme d'échange
Le Juke Hybrid constitue la preuve que l’Alliance entre Nissan et Renault est toujours intacte. Sans les Japonais, il n’y aurait pas eu de Renault Captur E-Tech Hybrid. Et la Nissan Juke Hybrid n’existerait pas plus sans les Français. Texte: Ken Divjak | Photos: Dennis Noten
- Avis Rédaction 14.53 /20
Lors de la présentation de la génération actuelle de la Nissan Juke, à l’automne 2019, nous pensions encore qu’une variante hybride plug-in arriverait à terme. Mais il n’en est rien: au lancement du Qashqai e-Power il y a quelques mois, Nissan a confirmé qu’il ne se lancerait pas dans la technique de l’hybride rechargeable, contrairement à son partenaire de l’Alliance, Renault, qui a lui franchi le pas du plug-in depuis quelque temps déjà.
Mais il était cependant clair que la gamme de moteurs du Juke actuel devait s’élargir: un crossover compact avec une production prévue d’environ un million d’unités ne pouvait en effet se contenter de proposer qu’un seul moteur à essence. Le constructeur japonais a donc été piocher dans la banque d’organes de l’Alliance, mais il a estimé que pour un produit jeune et dynamique comme le Juke, le prolongateur d’autonomie monté dans le Qashqai ne convenait pas. Nissan a donc opté pour la technique E-Tech Hybrid (hybride «autorechargeable») déjà connue dans les Renault Clio et Captur.
- Train avant tranchant, agrément de conduite
- Technique hybride bien intégrée
- Cockpit stylé et agréable
- Filtrage avec jantes de 19” perfectible
- Volume du coffre quelconque
- Sobriété vite mise à mal
Dans cet article : Nissan, Nissan Juke
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