Essai détaillé / Opel Insignia
Opel parvient à tirer son épingle du jeu grâce, notamment, à son Insignia. Découverte ici de deux nouvelles versions : l'économique 2.0 CDTI ecoFLEX et la 1.6 Turbo Sports Tourer.
- Avis Rédaction 15.04 /20
Avec ses 4,83 m de long, l'Insignia (berline) est nettement plus grande que la Vectra. En fait, elle est pratiquement du même gabarit que la Ford Mondeo 4 portes, la plus encombrante du segment. Cela vaut aussi pour la Sports Tourer, dont les 13 cm supplémentaires sont logés dans le porte-à-faux arrière. Longue, l'Insignia est cependant très aérodynamique, l'ecoFLEX parvient à descendre à 0,26! Les deux modèles testés peuvent être commandés avec le FlexRide, un dispositif influençant les réglages d'amortissement, la réponse à l'accélérateur, l'assistance de direction, les interventions éventuelles de l'ESP et même le temps de réaction des phares adaptatifs (à éclairage de virages) pour autant qu'ils soient de la partie. Pour ce qui est des réglages de suspension, le FlexRide offre 3 lois de fonctionnement: Tour, Normal et Sport.
- A la fois performante et très sobre
- Comportement sûr et plaisant
- Excellent confort
- Bons freins, direction précise
- Equipement standard correct
- Ligne réussie
- Garde au toit et espace pour les jambes à l’arrière
- Rapport encombrement/habitabilité
- Visibilité périphérique
- Accès aux places arrière
- Etagement de boîte trop long
- Ventilation un peu juste
- Coffre d’accès malaisé (4 portes)
Dans cet article : Opel, Opel Insignia
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