- Avis Rédaction 13.76 /20
La ligne pour le moins dynamique est signée Luc Donkerwolcke, à qui l'on doit notamment les Lamborghini Murciélago et Gallardo. Au-delà des aspects esthétiques, la nouvelle Ibiza inaugure la plate-forme A0 du groupe, qui doit également servir aux prochaines Volkswagen Polo et Skoda Fabia. Cette structure inédite se caractérise - comme on pouvait s'en douter - par des cotes plus généreuses. Mais grâce à un usage plus abondant (65%) d'aciers à très haute limite élastique, la rigidité (+10% en torsion et +13% en flexion) a pu être optimisée tout en limitant la prise de poids. La longueur dépasse aujourd'hui la barre des 4 mètres (soit une augmentation de 10 cm), tandis que la hauteur fait 4 cm de plus que précédemment. L'empattement ne progresse que de façon marginale (7 mm), mais les voies prennent 3 cm à l'avant comme à l'arrière.
- Personnalité esthétique
- Présentation intérieure
- Finition soignée, robustesse
- Volume du coffre en progrès
- Position de conduite
- Efficacité routière (châssis «sport»)
- Consommation raisonnable
- Prix d'attaque intéressant
- Filtre à particules de
- Amortissement insuffisant, percussions (châssis «confort»)
- Direction peu communicative
- Fonctionnement très bruyant
- Boîte d'Ecomotive (perfs, agrément)
- Impression d'exiguïté dans l'habitacle
- Eclairage intérieur faiblard
- Ceintures non réglables
Dans cet article : Seat, Seat Ibiza