- Avis Rédaction 16.00 /20
Le dernier point de convergence de tous les grands marchés (USA, Japon, Europe), chez Lexus, n'est autre que la CT 200h, motorisée par l'attelage hybride de la Prius, sortie début 2011, et construite sur la plateforme de l'Auris (même empattement à 2600 mm), mais dotée d'une suspension plus élaborée, notamment à l'arrière, où la CT dispose d'une double triangulation au lieu de l'essieu de torsion de l'Auris I. Plus récemment, Toyota a abordé la catégorie des petites polyvalentes en hybridant la Yaris (avec un 1.5 HSD fort de 100 ch de puissance cumulée, version actualisée du premier moteur de la Prius I). Un cran plus haut, pour résumer, la gamme hybride compacte (généraliste et premium) est, outre la Prius (III), renforcée de l'Auris I HSD, de la Prius Plug In, de la Grand Prius + et de la Lexus CT 200h. À peine présentée, l'Auris II passe pour être autrement plus séduisante que sa devancière au point, d'ailleurs, de voir fuser tous les rapprochements avec la CT 200h.
- Vrai agrément en commuting (péri)urbain
- Consommation très basse en ville
- Ergonomie et facilité de conduite
- Équipement de base et qualité perçue
- Style et sens pratique réconciliés
- Habitabilité à l'arrière et coffre en progrès
- Agrément de conduite sur l'autoroute rapide
- Attache-remorque exclue
- Grands trajets autoroutiers soporifiques
- Consommation autoroutière quelconque
- Essuie-lunette riquiqui (visibilité arrière)
- Accélérations et Vmax assez quelconques
Dans cet article : Toyota, Toyota Auris