- Avis Rédaction 15.08 /20
Depuis 1982, la Toyota Camry s’est écoulée à plus de 19 millions d’exemplaires à travers le monde. Aux USA, c’est une icône de la berline familiale. Et elle est tout aussi connue en Asie et en Russie. En revanche, elle a déserté le Vieux Continent à l’aube du 21e siècle – le bug de l’an 2000? – pour céder sa place à l’Avensis de conception plus européenne. Quinze ans après avoir abandonné l’Europe, la 8e génération de Camry y débarque à nouveau, donc y compris en Belgique, un si petit marché à l’échelle de ses ambitions, et pour lequel elle ne semble a priori pas bien «préparée». Exclusivement proposée en hybride, la Camry navigue en effet à contre-courant en choisissant un moteur de grosse cylindrée: un 2,5 litres atmopshérique à essence, fiscalement pénalisant, en particulier au sud du pays. Un choix de prime abord curieux, même si bien sûr, Toyota, constructeur mondial par excellence, ne peut se permettre de prévoir des spécificités pour notre petit pays, qui plus est morcelé au niveau fiscal, entre autres. Mais ses autres qualités peuvent-elles convaincre?
- Assemblage, finition, amortissement
- Habitabilité généreuse à toutes les places
- Equipement de sécurité
- Efficacité du groupe hybride
- Motricité et comportement sain et rassurant
- Rapport prix/équipement/consommation
- Fiscalité pénalisante en RW et Bruxelles
- Impossibilité de tracter
- Espace de chargement torturé
- Boîte peu dynamique
- Ergonomie du système multimédia
- Politique d'équipement restrictive
Dans cet article : Toyota, Toyota Camry
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