Lorsqu’il dévoila la toute première génération de Série 3 en 1975 au salon de Francfort, BMW ignorait encore qu’il était en train de poser les jalons de celle qui deviendrait le mètre-étalon du segment D, une auto vendue par la suite à moult exemplaires au travers de toute la planète. Ce succès, l’entreprise bavaroise l’explique aujourd’hui par le cahier des charges de la berline d’antan. Un document sur lequel la finition premium s’octroyait une aussi belle place que le plaisir de conduire, le célèbre «Freude am fahren». Un slogan encore mieux appliqué dans la version 323i de l’allemande, une berline familiale lancée quelques années plus tard (à partir 1978) et pourvue d’un incroyable – il faut bien le dire! – 6 cylindres en ligne.
Désormais, il ne faut plus attendre des années pour profiter d’une Série 3 propulsée par un «L6»; la version «40i» de la 7e génération, celle que les passionnés appellent G20, profite d’une commercialisation dans la foulée du lancement du modèle. Remarquable. D’autant plus que, comme son nom l’indique, la M340i a été affinée en étroite collaboration avec la division M de BMW.
- Comportement dynamique
- Ergonomie et habitabilité
- Performances
- Linéarité du 6 cylindres
- Boîte automatique
- Absence de boîte de vitesses manuelle
- Consommation
- Prix des options
- Absence de propulsion stricte
- Complexité du launch control
Dans cet article : BMW, BMW Série 3
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