Contrairement à ses deux principales rivales, la Mercedes Classe A impose le service 4 cylindres minimum à ses futurs propriétaires. Pour motoriser la version d’appel de sa compacte stylée, le constructeur à l’étoile conserve le 4 cylindres de 1332 cm3 élaboré en partenariat avec l’alliance Renault-Nissan. Proposé dans sa version 200 forte de 163 ch et 250 Nm lors du lancement de la quatrième génération de Classe A (voir Le Moniteur Automobile n°1684), ce moteur franco-allemand s’est ensuite dégonflé à 136 ch et 200 Nm en version 180. Et a même accepté de brider sa musculature jusqu’à 109 ch et 180 Nm dans cette version d’appel siglée 160 pour boxer dans la catégorie inférieure. De quoi permettre à la Classe A actuelle de se rapprocher des caractéristiques techniques de la précédente génération d’A 160 (102 ch et 180 Nm) quand elle faisait appel au 1.6 turbo de Daimler. Aux clients intéressés par cette version à la modeste mécanique, Mercedes imposera une boîte de vitesses manuelle à 6 rapports. La pédale de gauche ne peut, en effet, disparaître de l’habitacle de la Classe A qu’à partir du numéro 180 dans la série.
- Equipement et connectivité
- Comportement dynamique plaisant
- Finition et présentation
- Volume et accès du coffre en progrès
- Habitabilité à l'arrière en progrès
- Moteur de base «volontaire»…
- … mais performances limitées
- Consommation en conduite exigeante
- Prix final, options comprises
- Rendu de la direction
- Visibilité de trois quarts arrière
- Homologation CO2 (déductibilité)
Dans cet article : Mercedes-Benz, Mercedes-Benz Classe A
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