Essais courts / Mercedes Classe G 350 d : Plus homogène
L’arrivée du 6-cylindres en ligne Diesel sous le capot du Classe G assure une alternative aux gloutons V8. Et constitue aussi une belle surprise, tant l’homogénéité de ce modèle charme.
Avec l’imminent Land Rover Defender, Mercedes est détenteur avec le Classe G de l’un des derniers des Mohicans. Cette race de véhicules à la fois lourds et peu aérodynamiques est certainement en voie de disparition, car pour les animer, il faut recourir à de vraies usines à gaz. Le dernier Classe G utilisait jusqu’ici deux 8-cylindres à essence (500 et 63 AMG), ce qui ne le favorisait pas vraiment sur le plan des émissions de CO2. Quelques mois après son arrivée, Mercedes complète l’offre en misant cette fois sur un moteur Diesel. Et pas n’importe lequel : le récent 6-cylindres en ligne de 3 litres.
- Authenticité préservée
- Capacité en franchissement
- Confort global
- Finition
- Homogénéité du 350d (perfs, conso)
- Habitabilité/polyvalence
- Portes « à claquer »
- Lourd et encombrant
- Prix
- Accès (hauteur)
Dans cet article : Mercedes-Benz, Mercedes-Benz Classe G
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