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Premier essai / Abarth 595 50th Anniversary

Abarth lançait la première série spéciale de la Nuova 500 il y a un demi-siècle. Produite à 299 exemplaires, une édition anniversaire lui rend hommage. Et le petit pot de yaourt a pris de la bouteille...

Les kits de transformation réalisés par Carlo Abarth pour la Nuova 500 remontent à 1958, et sont donc presque aussi vieux que le modèle lui-même. Capitaliser davantage sur le label Abarth consiste à lâcher régulièrement des séries spéciales, qui ont représenté près de 3.000 ventes cumulées depuis 2007! Ces exemplaires-là peuvent devenir franchement chers, voire de vrais collectors. Fiat joue logiquement sur les versions évocatrices de modèles sportifs des années 60, notamment le tirage anniversaire ultraconfidentiel qui nous occupe: la 595 «50e anniversaire». Passons sur les détails cosmétiques évidents, dont les stripings rouges sur fond blanc. Par rapport à l'Abarth 595 Turismo (à boîte robotisée) dont elle dérive directement, la «50e annif» gagne 20 ch (à 180) et 20 Nm (à 250 en mode Sport).

La version anniversaire nous a paru plus encline à enrouler en finesse les S lents. Ses étriers mordent sur de plus grands disques avant, alors que les éléments arrière sont également perforés. Par contre, la Turismo s'est révélée plus facile à caler dans la grande courbe, qui se prenait pied au plancher. Néanmoins, de 0 à 100 km/h et en vitesse de pointe, elle rend à la «50e annif» respectivement plus de 0,4 s et 15 km/h. Généreusement dimensionnés, les freins - signés Brembo - de nos Abarth nous ont laissé aligner les tours avec sérénité, y compris les disques non perforés de la Custom de base (135 ch). Sièges avant, direction et suspensions ne sont pas en reste: nous avons affaire à des bombinettes dont la conduite n'a plus rien de celle de la petite polyvalente impavide qu'est la 500 de base.

Après avoir pris tour à tour le volant de toutes les 500 frappées du petit scorpion, nous nous sommes dit qu'Abarth méritait de faire vibrer d'autres Fiat, peut-être un peu moins féminines. Mais lesquelles? Le constructeur nous a promis que la démarche était dans le tuyau... Quant à la «50e anniversaire», elle nous laisse des impressions de déjà-vu. En effet, puissance (180 ch) et couple (250 Nm) n'ont rien d'inédit et ne font en tout cas pas d'elle la "più piccola supercar"... La 695 Abarth Tributo Ferrari notamment, sortie 4 ans plus tôt au salon de Francfort aussi... Ou la Tributo Maserati extrapolée de la 500C (découvrable). Toutes deux plus exclusives encore! N'empêche, on aime parce qu'un beau jouet ne lasse jamais et vaut toutes les rééditions. Il suffit de changer les décalcomanies.

L'essai complet est disponible dans votre Moniteur Automobile 1565 du 24 décembre 2013.

Dans cet article : Abarth, Abarth 500

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