Premier essai / Chevrolet Cruze 5 portes
Il y a 2 ans débarquait sur notre marché la convaincante Chevrolet Cruze. Avec une tare, cependant : l'absence de variante à hayon. Aujourd'hui, le vide est comblé.
Avec l'apparition de la Hatchback - c'est-à-dire 5 portes -, la Cruze repart avec d'autres arguments. Notamment esthétiques, tant la partie arrière paraît réussie et bien intégrée à la ligne générale. Paradoxalement, le volume minimum du coffre apparaît en léger retrait : de 450 à 413 l. En revanche, son accès se voit grandement facilité par un large hayon qui remplace avantageusement la malle étriquée de la 4 portes. La dernière-née propose toujours le fractionnement de la banquette 40/60 permettant cette fois de porter le volume maxi à 883 l. Dommage, toutefois, que l'impossibilité de rabattre les assises empêche toujours de disposer d'une aire de chargement parfaitement plane et que la trappe à skis soit absente.
Tant qu'à soigner la modularité et les aspects pratiques, on se serait attendu à ce que Chevrolet pousse la démarche un peu plus loin encore. Cela dit, ne boudons pas notre plaisir : cette Cruze améliore grandement ces deux points par rapport à la 4 portes. Techniquement, les deux variantes disposent des mêmes moteurs. À l'essai, on découvre logiquement les qualités de confort et de silence que l'on connaissait jusqu'à présent, ainsi qu'une qualité de finition tout à fait acceptable.
La Cruze 5 portes améliore grandement les aspects pratiques de la berline que l'on connaissait jusqu'à présent, sans pousser toutefois la démarche aussi loin qu'on aurait pu l'espérer. Mais ces évolutions positives se doublent d'un tarif en baisse, toutes choses étant égales par ailleurs. La voilà, la bonne surprise...
L'essai complet est disponible dans votre Moniteur Automobile 1504 du 17 août 2011.
Dans cet article : Chevrolet, Chevrolet Cruze
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