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Premier essai / Citroën Berlingo

Précurseur de la catégorie dite des ludospaces, Citroën aura attendu 12 ans pour lancer son nouveau Berlingo sous le signe de l'inflation, tant du gabarit que du tarif.

Les dimensions du Berlingo nouvelle mouture sont en hausse quel que soit le côté où l'on place le mètre ruban. Toutefois, la largeur aux coudes régresse spectaculairement. La faute aux normes de sécurité passive. On pourra toujours se consoler en chargeant le coffre, qui, dans l'opération, gagne 51 l (675) sous la tablette et 200 l (3.000) sièges arrière déposés. Mais dans le cas d'une finition avec banquette, le volume descend à 2.650 l, soit 150 de moins que pour la première génération de Berlingo ! Le hayon peut être remplacé en option par des portes battantes asymétriques.

L'habitacle recèle de multiples possibilités de rangement, autant de cachettes qui ne manqueront pas de fournir des sujets de conversations aux familles en déplacement ! Citroën met en avant jusqu'à 170 l de rangement avec le Modutop : un pavillon multifonction d'une centaine de litres et d'une trentaine de kilos. On le voit, la fonctionnalité a fait l'objet de toutes les attentions. Les équipements de confort renforcent le style « berline » en s'éloignant davantage de l'utilitaire pur et dur. Tout cela a un coût en euros, bien sûr, mais aussi en kilogrammes. À motorisation égale, la masse augmente de 170 kg au minimum. Ce n'est pas fait pour faciliter la tâche des mécaniques. Ainsi, en dépit d'une légère amélioration du coefficient de traînée moyen, la consommation augmente.

Posé sur des trains roulants similaires à ceux du C4 Picasso, le Berlingo II se montre sain et prévenant en toute circonstance, sans jamais être ennuyeux. Le roulis est faible. La direction électrohydraulique des deux Diesel les plus puissants offre une consistance et une linéarité propres à mettre en confiance. De même, le dispositif de freinage répond aux nouvelles contraintes de masse et de couple. Seule la commande de boîte, qui a migré du plancher au tableau de bord, peine à suivre la cadence.

Citroën a choisi de faire évoluer le Berlingo vers le haut. Plus imposant, mieux équipé et plus routier. Dès lors, rien de surprenant à ce qu'il s'inscrive dans la tendance lourde qui prévaut au sein de chacune des catégories. Cette politique laissera jouer au Nemo le rôle de ludospace d'entrée de gamme plus léger et moins cher.

Retrouvez cet essai complet dans le Moniteur automobile 1421 du 11 juin 2008.

Dans cet article : Citroën, Citroën Berlingo

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