Premier essai / Fiat 500C
Comme promis voici un petit temps déjà, Fiat lance la 500C, la variante cabriolet de sa petite citadine. En l'occurrence, il serait plus juste de parler de découvrable...
Le toit de la 500C est une interprétation contemporaine de celui de la Nuova 500 de 1957. Concrètement, les montants B et C ainsi que les arches de toit ont été conservés et le toit souple s'ouvre d'avant en arrière, jusqu'à hauteur de la planche à chapeaux, à ceci près que la manoeuvre s'effectue aujourd'hui électriquement, cela va sans dire. Le système est en fait assez proche de celui mis au point par Citroën pour sa C3 Pluriel, à la différence qu'ici, les arches de toit, déposables sur la voiture française, sont fixes.
Sur la piste d'essai avec la 1.4 (à boîte manuelle ou robotisée, mais sans stop-start) et la Diesel 1.3, nous n'avons guère noté de différence de comportement routier avec les autres 500, tandis que le confort ne souffre pas la critique. La rigidité de la caisse nous a donc paru satisfaisante. Quant aux performances, elles devraient être très proches de celles des versions fermées équivalentes, puisque la 500C n'accuse guère qu'une quarantaine de kilos de plus sur la balance.
La Fiat 500C conserve toutes les qualités de base de la 500 normale et son toit original n'impose que peu de concessions à l'utilisateur, hormis celle d'une visibilité arrière réduite lorsque le toit est totalement ouvert et celles qu'impose la disparition du pratique hayon arrière. Dommage qu'il faille patienter jusqu'au mois de janvier avant de voir la 500C débarquer sur nos routes...
L'essai complet est disponible dans votre Moniteur automobile 1449 du 8 juilet 2009.
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