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Premier essai / Hyundai Equus

Sans tambours ni trompettes, Hyundai se hisse dans le top 5 des plus gros constructeurs mondiaux. Voilà qui mérite une nouvelle carte de visite, sous les formes du haut de gamme Equus.

Depuis quelques années, les automobiles du groupe Coréen n'ont plus rien de ces ersatz de japonaises construites sous licence. Fort de son importante (et étendue) division R&D, Hyundai définit ses propres codes stylistiques avec, au sommet de cette stratégie, l'Equus 2013. En Corée, deux moteurs lui sont réservés: un 3,8 litres V6 (dont nous connaissons une variante sous le capot de la Genesis) et un 5 litres V8. Pour ce qui nous occupe, le 8 cylindres délivre 435 ch à 6400 tr/ min et 510 Nm, de quoi rejoindre le cercle des V8 atmosphériques les plus puissants du moment (puissance spécifique de 86,3 ch/l). Une cavalerie mise en oeuvre via une boîte automatique à 8 rapports (de conception Hyundai) pour laquelle les ingénieurs ont prévu un mode manuel séquentiel. Le train arrière transmet ensuite la puissance à la route.

Une pression sur le bouton de démarrage et une amicale voix coréenne s'éveille. Nous ne la comprenons guère mieux que le GPS, mais, comme à chaque fois que nous ferons démarrer l'auto durant notre essai, il doit s'agir d'une formule de politesse pour nous accueillir. Le V8 murmure, presque imperceptiblement, nous poussons le levier de vitesse sur Drive en suivant une grille de sélection comme dans le cas d'une... Lexus. Orienté confort, le châssis laissait craindre le pire, a fortiori pour une automobile très inspirée par les standards américains. Or il n'en est rien. Certes, la voiture ne peut masquer une tendance au roulis, plonge et se cabre au freinage et à l'accélération, mais dans une mesure admirablement contenue. Et la prise de roulis de rester dans des limites tout à fait acceptables.

L'Equus parvient à bousculer complètement nos préjugés à l'égard des limousines coréennes. Car si la Hyundai n'a pas encore atteint le niveau des Audi A8, BMW Série 7 et Mercedes Classe S, elle se rapproche très fort, en perception comme en aura, d'une Lexus LS 460. Quant au tarif, il est sans appel: sans directement convertir les prix américains au marché européen - nous sommes suffisamment idiots pour payer les mêmes voitures nettement plus cher -, de l'autre côté de l'Atlantique, la différence avec les concurrentes européennes se chiffre entre 40.000 et 50.000 dollars... D'après les statistiques de ventes, Asiatiques, Américains et même Russes raffolent déjà de l'Equus.

L'essai complet est disponible dans votre Moniteur Automobile 1531 du 5 septembre 2012.

Dans cet article : Hyundai

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