Premier essai / Opel Combo
Fidèle à son habitude, Opel va faire ses courses ailleurs pour sa gamme d'utilitaires légers, dont il extrapole ses versions «passagers». Pour le Combo, destination Fiat.
Cette 3e génération d'Opel Combo est donc en fait un Fiat Doblo légèrement revu et rebadgé par Opel. Dans sa configuration «transport de passagers», le Combo existe en 2 versions. L'une, dénommée Combi, d'accès de gamme, peut notamment compter sur le petit 1.3 CDTI italien et propose 5 places sur un empattement court (2,75 m) ou long (3,10 m). L'autre, plus luxueuse et baptisée Tour, commence sa gamme de moteurs Diesel avec le 1.6 CDTI, mais n'existe qu'en version courte. Elle donne aussi la possibilité d'opter pour un toit surélevé.
À l'usage, la modularité semble assez limitée, au contraire de l'habitabilité à toutes les places et du volume du coffre, qui permet de voir venir. Les 3 enfants, le labrador et les poussettes entreront sans peine. Le Combo devient ainsi un ludospace très pratique, lumineux et polyvalent. Nous avons eu l'occasion de prendre brièvement en main une version Tour 5 places, équipée du 2.0 CDTI de 135 ch et 320 Nm et d'une boîte 6. Avec ce moteur et cette boîte, le Combo fait preuve d'un réel dynamisme, voire d'un bon confort, grâce en particulier à ses suspensions rigoureuses (pseudo-McPherson et multibras), correctement amorties.
Le Combo permet à Opel d'obtenir à peu de frais un ticket d'entrée dans le segment de plus en plus prisé des ludospaces. Beaucoup d'espace intérieur, du volume de coffre à revendre et un certain agrément de conduite, du moins dans sa version luxueuse Tour. Si le physique est ingrat, les qualités rationnelles sont au rendez-vous.
L'essai complet est disponible dans votre Moniteur Automobile 1521 du 18 avril 2012.
Dans cet article : Opel, Opel Combo
Essais
Nos essais
Les concurrentes
KIA Venga Sense 1.6 CRDi 115
Nissan Evalia 1.5 dCi 66kW Acenta
Ford B-Max 1.5 TDCi 70kW S/S Titanium
Stocks
Voitures de stocks à la une
Occasions