Premier essai / Suzuki Baleno 1.2 CVT : Attachante
La CVT rend au 1,2 l une partie de la vivacité dont le privait la boîte 6 manuelle «longue».
Dans notre n°1631, vous avez pu lire l’essai détaillé de la Baleno 1.2. Une petite voiture drôlement sympathique, agréable à conduire et à vivre, sans défaut rédhibitoire, au comportement et à la qualité de finition plus qu’honnêtes. Nous avons parcouru quelques centaines de kilomètres au volant de sa variante CVT. Ici aussi, le bilan apparaît très satisfaisant. La CVT rend au 1,2 litre une partie de la vivacité dont le privait la boîte manuelle. Contrairement à la majorité des boîtes de ce type, elle «colle» d’emblée, assez sèchement même, requérant une certaine accoutumance pour éviter les démarrages de grands prix et les manœuvres… heurtées. D’autant plus que l’accélérateur est très réactif! Moyennant un apprentissage pour faire redescendre le plus vite possible le régime du moteur, cette boîte offre ce que l’on en attend: un silence appréciable à allure stabilisée, moins de stress dans les bouchons et… une augmentation raisonnable de la consommation. La 1.2 manuelle avait siroté 5,5 l/100 en moyenne. La «CVT» a oscillé entre 5,6 et 6,6, pour donner une moyenne de 6,4 après un parcours mixte de 245 km et 6,2 au terme d’un second parcours plus varié de 600 km avalé à un rythme relativement élevé, mais toujours dans un style de conduite coulé, voire cool.
Dans cet article : Suzuki, Suzuki Baleno
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