Premier essai / Toyota Land Cruiser 150
Le Land Cruiser porte son appellation comme une marque : fièrement, sans rougir - au contraire - d'être un «quat'-quat'», un vrai, que l'opprobre public est toujours prompt à vouer aux gémonies.
Land Cruiser est une appellation qui s'est érigée au fil de ses 60 ans de carrière. Toujours disponible en 3 ou 5 portes et en boîte 6 manuelle ou 5 automatique, le Land Cruiser 150 D-4D (seul moteur disponible, d'ailleurs) reste l'un des rois de la traction, avec une capacité de remorquage de 3 tonnes, grâce aussi à ses 4 roues motrices en permanence, pouvant évoluer si besoin se fait sentir sur une gamme de rapports courts. À l'usage, le Land fait oublier ses rudes dispositions par un confort et un silence de marche étonnants, d'autant que les évolutions apportées au moteur ont aussi contribué à réduire son niveau sonore.
Même passé en « Euro5 », le Land Cruiser reste cet engin polymorphe, apte à encaisser les plus rudes traitements comme on emprunte les chemins d'accès aux terrains de golf les mieux fréquentés. C'est parce qu'il n'a jamais bradé son capital génétique aux sirènes des (faux) SUV qu'il résiste si bien aux affres du temps et des modes.
L'essai complet est disponible dans votre Moniteur automobile 1489 du 19 janvier 2011.
Dans cet article : , , Toyota, Toyota Land Cruiser
Essais
Nos essais
Les concurrentes
Jeep Grand Cherokee 3.0L CRD Limited Auto (140 kW)
Land Rover Discovery 5p 3.0 TdV6 Commandshift Lounge Edition
Mitsubishi Pajero 5p 3.2 Di-D Aut. Instyle
Stocks
Voitures de stocks à la une
Occasions