Premier essai / Volkswagen Amarok Auto
En passant à la boîte automatique à 8 vitesses, l'Amarok élargit son potentiel de séduction et dévoile des qualités (routières) qu'on ne lui connaissait pas.
Lancé début 2011 en Europe, l'Amarok est déjà disponible en une kyrielle de variantes, mais il élargit encore son champ de compétence via une version automatique. Celle-ci dispose de la boîte hydraulique à convertisseur de couple du Japonais Aisin déjà connue des produits Audi et qui compte ici aussi 8 rapports, une première dans le segment. Cette transmission est exclusivement associée au TDI de 180 ch ainsi qu'à la carrosserie à double cabine et transmission intégrale permanente, soit celle qui est privée de réducteur. L'échelonnement des rapports a été déterminé en conséquence : les deux premières vitesses sont ultracourtes.
La bonne nouvelle dans l'arrivée de cet Amarok automatique, c'est que la boîte automatique n'est pas là que pour servir le confort. Au contraire : grâce à ses 8 vitesses, ce pick-up est aussi capable de consommer très peu, comme en attestent les chiffres de consommation mixte, inférieurs à ceux du modèle équivalent à boîte manuelle. À l'usage, l'Amarok automatique séduit : en dehors du fait que l'engin est forcément plus confortable à conduire, il montre un dynamisme qu'on ne lui connaissait pas. La boîte intervient avec une telle rapidité et une telle douceur qu'on en vient à profiter plus intensément des qualités du châssis de ce pickup.
Si l'Amarok a déjà fait des vagues, l'arrivée de sa version automatique pourrait bien déclencher un raz-de-marée tant elle paraît aboutie et agréable. Par les temps qui courent (ATN), cette déclinaison certes plus haut de gamme a certainement toutes ses chances, surtout face aux SUV au lourd régime de taxation.
L'essai complet est disponible dans votre Moniteur Automobile 1521 du 18 avril 2012.
Dans cet article : Volkswagen, Volkswagen Amarok
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