Premier essai / Volkswagen Polo
La cinquième génération de Polo s'inscrit dans un des segments de marché qui résistent le mieux à l'érosion des ventes, et certains de ses moteurs annoncent des rejets de CO2 record...
Vue de l'avant, cette Polo de cinquième génération ressemble tout à fait à une petite Golf. C'est avec ses moteurs les plus récents sous le capot (1.2 TSI de 105 ch et 1.6 TDI dans ses 3 puissances de 75, 90 et 105 ch) qu'il nous a été donné de faire connaissance avec la nouvelle petite polyvalente du constructeur allemand. Si le TDI 75 ch nous a semblé un peu juste en potentiel pour celui ou celle qui affronte régulièrement l'autoroute, son grand frère de 105 ch nous est apparu plus brutal et «brut de décoffrage». Notre préférence va donc clairement à la version «intermédiaire » de 90 ch. Reste que les trois versions marquent un incontestable progrès en silence de marche. Quant au 1.2 TSI, c'est un petit moteur volontaire, à la personnalité plutôt sportive.
Par son comportement routier, à présent, cette Volkswagen se positionne sans aucun doute parmi ce qui se fait de mieux et de plus plaisant à conduire dans la catégorie, grâce à son châssis efficace et à sa direction à assistance électrique parfaitement aboutie. L'habitacle de la nouvelle Polo est plus agréable à l'oeil que celui du modèle qu'elle remplace.
Il ne faut pas être grand clerc pour deviner que cette Polo cinquième du nom sera un succès. A côté d'une offre très diversifiée - dont le modèle de base démarre à 12.611,90 euros -, la Polo peut compter sur son comportement routier gratifiant ainsi que sur des moteurs modernes et sobres, avec l'atout que tous les moteurs Diesel donneront au minimum droit à la prime fédérale de 3%.
Dans cet article : Volkswagen, Volkswagen Polo
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