Essai détaillé / Toyota bZ4X AWDi: Premiers pas...
Avec quelques mois de retard sur le programme initial, la Toyota bZ4X débarque chez nous pour se faire un nom sur le marché des véhicules électriques à batterie. Mission compliquée quand on est issu d’une famille où l’hybridation et la pile à combustible s’érigent en religion depuis tant d’années…
- Avis Rédaction 15.40 /20
Toyota est tout sauf un rookie en matière d’électrification appliquée à l’automobile. Précoce dans la démocratisation de la technologie hybride, avec la Prius d’abord puis avec une gamme complète de modèles convertis ces dernières années, il fut aussi l’un des pionniers de la pile à combustible et reste aujourd’hui encore l’un des seuls constructeurs à proposer une auto «grande» série qui fonctionne à l’hydrogène: la Mirai. C’est sans doute parce qu’il est déjà très avancé dans cette technologie que le géant du Japon n’a pas tout de suite sauté dans le train de l’électrique à batterie, considérant certainement la chose comme une forme de régression. Le voici qui débarque finalement chez nous avec le bZ4X, un peu tard peut-être, sur un marché déjà bien structuré. Un peu plus tard encore que prévu même, par la faute de quelques défauts techniques (NDLR: les roues des tous premiers modèles avaient tendance à se détacher), tous contrôlés et résolus, comme en atteste le constructeur.
Photos: Jonathan Godin
- Compromis confort/comportement réussi
- Habitabilité généreuse, volume de coffre intéressant
- Garantie étendue (10 ans ou 200.000 km, sous conditions)
- Consommation/autonomie à surveiller (avec jantes de 20’’)
- Détails d’ergonomie à revoir
- Tarif costaud
Dans cet article : Toyota, Toyota BZ4X
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