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Lancé en 2010, le Sharan n’est certes plus de première jeunesse, mais ses quelques rafraîchissements cosmétiques et d’équipement lui ont permis de rester à la page. Imposant, ce monospace est d’accès facile grâce à ses portes latérales arrière coulissantes (motorisées en option). Dans l’habitacle, très bien fini, tous les sièges sont escamotables dans le plancher. Plus besoin de les déposer: les personnes sensibles du dos apprécieront. Précisons que le Sharan est livrable en 5, 6 (2 sièges avec accoudoirs au rang 2) et 7 places. L’accès à la 3e rangée de sièges est très aisé, les dossiers et assises de la 2e basculant en un seul mouvement.
Le Sharan s’équipe d’un train avant MacPherson et de l’essieu arrière à 4 bras de guidage par roue de la Passat d’ancienne génération. Cela lui confère une tenue de route proche de celle d’une berline, bien que la direction manque un peu de précision autour du point milieu. On regrette aussi la piètre visibilité de trois quarts avant. Notons que, parmi les options, un amortissement piloté est proposé, ainsi que le Park Assist, qui effectue les créneaux automatiquement. Comme sa cousine, la Seat Alhambra, le Sharan n’a malheureusement plus droit qu’à un seul moteur: le 1.4 TSI 150 à essence, avec boîte manuelle ou DSG à 6 rapports. Les Diesel ont en effet disparu du catalogue.
Parmi les derniers grands monovolumes disponibles sur le marché, le Sharan conserve ses qualités: un espace et des aspects pratiques importants. Mais le temps passe et cela se remarque, notamment au travers de son offre de motorisations, réduite à une proposition unique. En outre, son jumeau technique, l’Alhambra, fait aussi bien pour (un peu) moins cher…