Début octobre, Nissan annonçait le rappel de plus d’1,2 million de véhicules. Une procédure qui coïncidait avec l’annonce de l’ouverture d’une enquête au Japon pour fraude à la certification. Cette fois, c’est au tour de Subaru de se retrouver au cœur de ce scandale. Son président, Yasuyuki Yoshinaga, vient de s’excuser officiellement auprès des clients de la marque. Le groupe Subaru envisagerait le rappel de 250.000 modèles.
Inspecteurs non-certifiés
A priori, au cœur de ce scandale, on ne déplorerait toutefois pas de problème de qualité stricto sensu. Mais plutôt une falsification de rapports d’expertise. Nissan, puis maintenant Subaru, auraient en effet confié les contrôles spécifiques exigés pour le marché japonais à des inspecteurs non-officiellement certifiés. L’enquête en cours devrait permettre de faire la lumière sur la situation. Mais, d’après les premiers éléments avancés, la situation pourrait durer depuis plus de… trente ans !
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