La restauration des automobiles anciennes est une activité très importante aussi lucrative que d’intérêt public (histoire). Cela dit, les collectionneurs doivent souvent casser leur tirelire pour mener à bien les restaurations de leurs bijoux. Car il est clair que les pièces d’origine sont parfois très difficiles à trouver quand elles existent encore... Du coup, une société française installée près de Bordeaux, Gryp, s’est dit que l’impression 3D pouvait constituer un début de solution en reproduisant des pièces détachées sur-mesure.
5% des pièces
Gauthier Laviron et Bastien Vanlathem les deux fondateurs de Gryp pourraient très vite crouler sous les commandes des tous les collectionneurs du monde. Ayant dirigé précédemment Exception & Cie, une entreprise de courtage et de conseil pour les voitures de collection, les deux hommes ont pour objectif d’éviter que la spéculation ne domine le marché de la voiture ancienne et donc de produire grâce à l’impression 3D des pièces à un coût abordable. Cela dit, leur tâche est colossale car pour l’instant, seuls 5% des pièces pour voitures anciennes sont imprimables en 3D. Mais ce chiffre devrait rapidement augmenter, les deux entrepreneurs ayant acheté une imprimante capable de produire des pièces mécaniques.
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