- Avis Rédaction 15.14 /20
Si la TT en est à sa troisième génération, la variante Diesel n'est apparue qu'avec la seconde (nom de code 8J), la TT TDI quattro 170, l'un des premiers coupés 2+2 de l'histoire (et, par après, en roadster) à fonctionner au gazole. Et la TT de rester sans doute le plus bel écrin - hors voitures de compétition - pour le TDI du groupe Volkswagen. Cela dit, l'importance de la version à mazout n'atteint pas la même proportion que parmi les berlines et breaks: 1 TT vendue sur 4 est une TDI. Pas mal, évidemment, mais l'acheteur type d'une TT reste un amateur de griserie mécanique, que n'offrira jamais - ou très rarement - un moteur à combustion spontanée. Par contre, pour ce quart de clients ouverts d'esprit, l'occasion était trop belle de pouvoir rouler avec autant de style sans se ruiner en carburant. Car à quoi sert une belle auto si l'on craint de solliciter son accélérateur? Le Diesel se retrouve donc fort logiquement au catalogue du nouveau modèle et, pour la première fois, en une version à 2 roues motrices, contrairement à la précédente, qui se réservait la transmission quattro.
- Moteur élastique et performant
- Style connu mais encore embelli
- Technologies très «premium»
- Sportive et GT, comportement amusant
- Vrai confort en jantes d’origine (17’’)
- Places avant agréables et confortables
- Rapport prix de base/équipement chiche
- Options incontournables chères
- Jantes de 19’’ enlèvent un peu de confort
- Diesel moins raffiné qu’un 2.0 TFSI
- Places arrière pour très jeunes enfants
- Vulnérabilité de la carrosserie en ville