Essai détaillé / Dacia Dokker 1.5 dCi 90
Dans la foulée du Lodgy, le Dokker vient enrichir la gamme Dacia. Il semblerait que le constructeur accélère la cadence en vue de prendre de vitesse une concurrence pour l'heure encore bien invisible.
- Avis Rédaction 14.00 /20
En plus de «récupérer» des pièces d'anciens modèles Renault, les responsables de la marque s'appliquent à réaliser des économies d'échelle en poussant à l'extrême le nombre de pièces partagées entre les modèles. Ainsi, le Dokker reprend telle quelle la plateforme du Lodgy. Ce qui signifie qu'il reçoit la nouvelle coque M0 (extrapolée de la B utilisée par la Clio II) dont les berceaux avant et arrière ont été réétudiés en vue d'offrir une meilleure absorption des chocs en cas de collision. Il repose donc aussi sur le train avant pseudo-McPherson renforcé de la Logan MCV et l'essieu arrière déformable du Kangoo. En tout, le mono- et le ludospace ne partagent pas moins de 80% de leurs pièces. En revanche, l'offre de moteurs ne correspond que partiellement à celle du Lodgy. Le Dokker doit se contenter du 1.6 à essence de 85 ch et de l'éprouvé 1.5 dCi dans ses variantes de 75 et 90 ch. Le petit 1.2 turbocompressé à essence TCe, pourtant livrable dans d'autres pays, lui est donc refusé. Allez savoir pourquoi !
- Rapport encombrement/habitabilité
- Volume de chargement remarquable
- Qualité de fabrication en net progrès
- Souplesse et sobriété du 1.5 dCi
- Mise à la page des équipements
- Politique tarifaire défiant toute concurrence
- Détails de finition dans l'habitacle
- Interface MediaNav peu conviviale
- Absence totale de matériau moussé
- Absence de montée en effort dans la direction
- Suspension arrière un peu sèche
- Visibilité arrière due aux 2 ouvrants battants
Dans cet article : Dacia, Dacia Dokker
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