Essai détaillé / Opel Agila 1.2 & 1.3 CDTI
À mi-chemin entre citadine et polyvalente, l'Opel Agila deuxième du nom devrait bénéficier de l'élan actuel des compactes en Europe. La rupture avec la première génération est si totale qu'elle aurait d'ailleurs mérité de changer de nom...
- Avis Rédaction 12.40 /20
Sous l'impulsion de nouvelles réglementations et systèmes de taxation prenant en compte l'émission de CO2 comme donnée principale, les petites voitures ont le vent en poupe. Comme pour la génération précédente, Opel et Suzuki se sont partagé le travail pour proposer leur Agila et Splash respective. D'un point de vue mécanique, c'est surtout le Japonais qui a été mis à contribution, puisqu'il fournit la plate-forme donc les trains roulants, ainsi que les moteurs à essence. Le Japonais met en outre à disposition son usine hongroise d'Esztergom. Le Diesel est quant à lui le reliquat d'un accord passé entre General Motors et Fiat. Suzuki fournit aussi visiblement des éléments intérieurs. Quant à Opel, il se serait, paraît-il, chargé du style extérieur. Proches des citadines par leur encombrement extérieur réduit (3,74 m), capables de rivaliser avec des polyvalentes grâce, en particulier, à des aptitudes routières et une habitabilité suffisantes pour la plupart des utilisations, l'Agila est de surcroît mâtinée de petit monospace.
- Habitabilité/encombrement
- Moteur discret, exempt de vibrations
- Carrosserie 5 portes pratique
- Accès à bord aisé
- Equipement sécuritaire correct
- Espaces de rangement à l’avant
- Finition, qualité des matériaux
- Reprises laborieuses
- Confort de marche ferme (suspension, sièges...)
- Manque de maintien des sièges
- Pas de banquette coulissante
- Performances «vertes» perfectibles
- Visibilité de 3/4 avant et de 3/4 arrière
Dans cet article : Opel, Opel Agila
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