- Avis Rédaction 16.00 /20
La Prius inocule depuis 15 ans des vertus multiples à l'usager qui fait le pas de l'adopter. Elle lui donne la passion de consommer peu. Surtout, ceci expliquant cela, elle change sa façon de conduire en bien, l'aide - sans coercition ni renoncement - à perdre ces vilaines habitudes qui rendent agressif et font de lui un gaspilleur d'énergie non renouvelable. Tout ça grâce à un mode d'emploi simple. Forte de son attelage hybride de 136 ch, la Prius III avait atteint une crête évolutive à sa sortie en 2009. Ce double propulseur thermique/électrique devait être très en avance sur son temps, puisqu'il nous revient tel quel, ou presque, sous le capot de la nouvelle Prius +. Le seul changement important touche la batterie. Il ne s'agit plus d'une nickel hydrure métallique (NiMH), mais d'une lithiumion (Li-ion). C'est qu'il fallait économiser l'espace intérieur pour pouvoir accueillir 7 passagers en gardant un coffre. À tension (202 V), puissance (37 ch) et capacité énergétique (1,1 kWh) identiques, une Li-ion occupe moins de place que la NiMH et pèse 8 kg de moins, soit 34 kg.
- Vrai agrément en commuting (péri)urbain
- Rapport conso/nombre de places imbattable
- Ergonomie et facilité de conduite
- Aménagement fonctionnel, équipement
- Accès et habitabilité en largeur au 2e rang
- Coffre de MPV (batterie de console centrale)
- Effet «moulin à café» sensible (KD chargé)
- Peu de coffre en configuration 7 places
- Coffre de toit et attache-remorque exclus
- Agrément de conduite sur tracés rapides
- Accès et habitabilité «kids only» au 3e rang
- Sièges de 2e et 3e rangs non déposables
Dans cet article : Toyota, Toyota Grand Prius+