- Avis Rédaction 14.40 /20
Malgré sa ressemblance stylistique avec le Touareg, l'Amarok n'a presque rien en commun avec lui. Chez Volkswagen, pick-up et SUV ne partagent aucun organe, sinon quelques éléments de la boîte de transfert de la transmission. Par sa structure (châssis-poutre, essieu arrière rigide suspendu sur des ressorts semi-elliptiques) et son architecture (moteur longitudinal avant, roues arrière motrices en mode 4x2), l'Amarok n'apporte rien de très novateur sur ses concurrents asiatiques, sinon une meilleure habitabilité et, caractéristique unique, un plateau de chargement pouvant accueillir transversalement 2 europalettes (1,2 x 0,8 m)! Plus original: il existe en deux variantes de transmission, crabotable et dépourvue de différentiel central (4Motion enclenchable avec gamme courte, la conformation la plus rencontrée chez les pick-up) ou permanente avec autobloquant interponts Torsen (4Motion permanente sans commande de réduction). Les arguments originaux de l'Amarok abondent dans le sens d'une ouverture au downsizing des moteurs et à une plus grande sophistication - efficacité, donc - des aides à la conduite.
- Habitabilité en longueur et en largeur
- Aides à la conduite exhaustives
- Sièges et position de conduite
- Comportement on- et off-road
- Style avantageux
- Plateau prévu pour 2 europalettes
- Finition sous les standards de VW
- Moteur sonore au ralenti et à basse vitesse
- Commande de boîte parcâbles«croquante»..
- Essuie-glace et lave-glace peu efficaces
- Poids, manque d’allonge sur faux plats
- Promesse de basse consommation spécieuse
Dans cet article : Volkswagen, Volkswagen Amarok