- Avis Rédaction 14.57 /20
Le XC90 constitue plus que jamais le début d’une ère nouvelle pour Volvo. S’il est bien sûr le tout premier modèle construit sous le patronat du Chinois Geely – qui a racheté Volvo en 2010 –, il est aussi le premier véhicule à mettre en œuvre un tout nouveau processus industriel qui repose à la fois sur une nouvelle architecture modulaire et sur une nouvelle famille de moteurs qui ne compte plus que des 2 litres 4 cylindres. Ce XC90 apparaît dès lors comme le modèle de tous les symboles pour le Suédois, d’autant plus qu’il est aussi le premier à arriver après plusieurs années de vaches maigres. Cela dit, Volvo tient à nouveau le bon bout. Le constructeur a renoué avec les bénéfices en 2013; l’an dernier, il a même battu son record historique de ventes, qui datait de 2007. Et comme pour mieux assurer cette renaissance, Volvo a en outre prévu d’allouer 500 millions de dollars pour faire sortir de terre une cinquième unité de production. Elle sera implantée au Etats-Unis, un pays aux ventes marginales ces dernières années (58.000 unités seulement l’an dernier), son ancien propriétaire (Ford) y ayant (trop) longtemps privilégié sa propre marque.
- Habitabilité, y compris aux 6e et 7e places
- Qualité de finition, présentation
- Moteur D5 à la hauteur
- Qualité de la sellerie
- Connectivité
- Niveau de sécurité passive et active
- Moteur sonore en phases transitoires
- Confort avec roues de 20 pouces
- Calibrage de boîte imparfaite
- Cinématique du cache-bagages (7pl.)
- Verrouillage centralisé horripilant
- Fréquence des révisions (1 an)
Dans cet article : Volvo, Volvo XC90