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Les jours de ce break Mondeo sont comptés: en mars 2022, l’usine espagnole arrêtera la production (les précédentes générations étaient encore produites à Genk) et aucun successeur n’est prévu pour l’Europe. Tout comme la berline, ce break Mondeo est arrivé chez nous fin 2014 et a eu droit à un subtil restylage en 2019. L’habitabilité arrière est généreuse et ce break soigne aussi la sécurité des enfants: il peut disposer en option de ceintures de sécurité arrière latérales à airbag intégré. En action, on apprécie l’excellente tenue de route de ce grand break, particulièrement dynamique, tout en restant confortable. Seul bémol: la direction offre un rendu par trop artificiel.
En attendant la retraite, ce break Mondeo n’est plus disponible qu’en version hybride «autorechargeable». Ce propulseur affiche un bon rapport performances/consommation. Mais un coup d’œil dans le coffre nous indique clairement que ce break Ford n’a pas été conçu dès le départ pour exister en hybride: la petite batterie de 1,4 kWh, installée sous le coffre, a imposé de relever le plancher, qui est même plus haut que le seuil de chargement. Résultat: la soute a perdu un gros 120 litres de contenance. Le volume tombe dès lors à seulement 403 litres. Dommage!
C’est la dernière ligne droite avant la retraite pour ce break Mondeo. Ce modèle roule très bien, mais la gamme est réduite à peau de chagrin: seule subsiste la version hybride, dont la batterie ampute fortement le coffre. Or, le coffre est tout de même un critère d’achat majeur pour un break…
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