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Hyundai s'est lancé en 2016 dans une offensive en matière de modes de propulsion «alternatifs» avec la Ioniq, qui se décline en hybride, hybride rechargeable et full électrique. Après une légère remise à niveau en 2018, la Ioniq a été remise sur le métier en 2020. L'habitacle propose une connectivité très actuelle, avec un écran de 10,25", reconnaissance vocale et mises à jour «over-the-air». À l'avant, on profite d'une bonne habitabilité et d'un confort appréciable. C'est moins le cas à l'arrière, par la faute d'une ligne de toit fuyante et d'un espace aux jambes assez moyen. Le coffre de l’hybride autorechargeable est intéressant, mais celui de la plug-in est plus petit.
Les deux hybrides font appel au moteur à essence 1.6 de 105 ch. L'hybride autorechargeable y ajoute un moteur électrique de 44 ch, alors que celui de la (plus coûteuse…) version plug-in affiche 61 ch et est associé à une batterie de 8,9 kW qui lui procure, selon le protocole WLTP, une autonomie électrique de 52 km et ramène les émissions de CO2 à 26 g/km. Cela assure une déduction fiscale de 100% pour les indépendants et les sociétés. Malgré le moteur électrique plus gros de la plug-in, la puissance totale cumulée reste de 141 ch. Ces deux hybrides n’affichent que des performances modestes et le châssis est d’ailleurs réglé pour une conduite calme.
Les Ioniq hybride et hybride rechargeable sont avant tout raisonnables. La première constitue une alternative moderne à la traditionnelle Diesel, alors que la seconde est surtout intéressante dans un contexte professionnel en raison de son régime fiscal avantageux. Au final, cette Hyundai est très proche d'une Toyota Prius mais coûte moins cher.