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Alliance Renault-Nissan oblige, cet Austral (qui remplace le Kadjar) partage son squelette avec la Nissan Qashqai. Mais il s’offre une carrosserie et un habitacle bien à lui, avec même quelques particularités techniques. À commencer par un système multimédia plus sophistiqué tournant sous Android Automotive (mais compatible avec Apple CarPlay), qui assure la navigation via Google Maps et permet de télécharger directement des applis depuis l’écran. Le mobilier est moderne et on apprécie aussi la disponibilité d’une banquette coulissante, permettant de favoriser au choix l’habitabilité arrière ou le volume du coffre. Parmi les autres équipements intéressants, on pointe le toit panoramique (mais non ouvrant) ou les sièges avant à fonction massage.
Sous le capot, pas de Diesel: Renault laisse le choix entre des moteurs à essence avec hybridation légère de 48 V (130 ch) ou 12 V (160 ch), et un propulseur hybride «autorechargeable» associant un nouveau 3-cylindres 1.2 turbo et un moteur électrique. Avec ses 200 ch, cette hybride sans prise affiche des reprises énergiques et c’est aussi la seule variante pouvant disposer de roues arrière directrices. Cet équipement, unique dans ce segment, rend ce SUV particulièrement agile en virages et lui permet également de braquer plus court. Cette hybride sait aussi se faire sobre en conduite douce.
Par rapport au Kadjar qu’il remplace, l’Austral fait un bond en avant en matière de dynamisme (surtout avec les roues arrière directrices) et de sobriété (surtout l’hybride autorechargeable). Cette Renault est également bien équipée sur le plan numérique (Android Automotive) et correctement tarifée. Un modèle bien né pour affronter la rude concurrence du segment.