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Lancé en 2015 et légèrement revu en 2020, l’Espace V mélange les genres, entre break, monospace et SUV. Entretemps, on sait qu'il n'y aura pas de sixième génération de ce monovolume autrefois populaire. Renault avait pourtant tenté de lui donner quelques traits de SUV et un look plus tendance. À l’avant, on remarque la grande tablette tactile verticale de 9,3”, qui commande la plupart des fonctions du véhicule. Au second rang, on trouve d’office 3 sièges individuels. Ceux-ci coulissent et s’inclinent; mais ils ne sont pas extractibles: ils se rabattent dans le plancher. L’assise est implantée assez bas, ce qui implique que les cuisses des adultes sont assez mal soutenues. Par contre, l’espace pour les jambes se révèle très généreux. C’est un peu moins le cas au troisième rang.
Posé sur la plateforme modulaire CMF de l’alliance Renault/Nissan, l’Espace peut s’offrir un amortissement piloté et les 4 roues directrices, pour améliorer son agilité en courbe. Cela dit, le poids est bien là et l’amortissement mou n’incite pas à hausser trop le rythme. Mais on apprécie l’insonorisation et le confort de la suspension. Pour ce qui est du moteur, Renault ne propose plus que le 2.0 dCi, en version 160 ou 190 ch. Avec la boîte robotisée à 6 rapports dans les deux cas.
L’Espace V tient à la fois du break rehaussé, du monospace (dont il possède les sièges arrière individuels) et du SUV (dont il tient une garde au sol assez élevée). Un engin très original. Mais la finition aurait pu être plus cossue et l’amortissement mieux calibré en conduite dynamique.
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