La France pourrait accorder une garantie sur un prêt de 5 milliards d’euros à Renault pour l’aider à se relancer. Mais il y a bien évidemment des conditions à cette couverture de crédit. La radio française Europe 1 indique que le ministre de l’Économie Bruno Le Maire, et donc par corollaire le Président Emmanuel Macron, aurait notamment imposé une participation de Renault dans l’Airbus des batteries (European Battery Alliance), cher à l’Élysée. Ce consortium des batteries initié par le groupe Volkswagen et la société suédoise Northvolt, avec le plein soutien de Berlin et Paris, vise à détacher l’Europe de la dépendance chinoise pour les batteries et leurs matières premières. Le projet a rapidement séduit plusieurs constructeurs ainsi que des institutions publiques, universités et sociétés de toute l’Europe. De son côté, alors que PSA et Total sont entrés dans le jeu, Renault tergiversait encore. Selon les informations de la presse française, Renault aurait bien accepté d’y participer plus activement.
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