L'avenir des usines automobiles s'esquisse sous les traits d'une nouvelle génération de robots humanoïdes, alliant la dextérité humaine à la puissance de l'intelligence artificielle. À l'instar des lignes de production où le métal froid rencontre la précision robotique, Tesla et Figure rivalisent d'ingéniosité pour introduire ces nouvelles entités au cœur de la production.
La dextérité d’un humain ?
Figure, startup californienne audacieuse, a récemment démontré l'efficacité de son modèle 02, un automate à l'allure anthropomorphique, dans l'antre de BMW à Spartanburg. Ce robot, tout en câblage neuronal et capteurs affûtés, s'est révélé capable de manipuler des pièces de tôle avec une dextérité surprenante, un exploit jusque-là réservé aux mains humaines. Cette prouesse, bien que modeste dans son exécution, ouvre la voie à une production où l'homme et la machine ne font plus qu'un, unis par un langage commun et une compréhension intuitive.
BMW, sous le charme de ces nouvelles potentialités, envisage déjà leur intégration dans ses futurs procédés, bien que le calendrier reste incertain. Mercedes-Benz, de son côté, se tourne vers la startup Apptronik pour explorer ces horizons, laissant entrevoir une ère où le châssis du futur pourrait bien être façonné par des mains non humaines.
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